En lisant le rapport du GIEC, est-ce qu’il y a encore de l’espoir? Oui!

Voici les questions et les réponses qu’il faudrait assimiler et appliquer rapidement pour arriver a s’en sortir sans trop de casse.

Mais, même si chacun en est plus ou moins conscient, on préfère se dire qu’il vaut mieux profiter maintenant et on verra.

Pourtant il y a le feu dans la maison à tous les étages et regarder ailleurs ne nous sauvera pas. 

Par exemple : Les journalistes reçoivent les activistes, posent des questions et n’écoutent pas, enfin pas tous, les réponses qu’on leur donne. Ils disent: OK! Puis ils parlent de l’inflation, du prix des primes d’assurances qui inquiètent aussi les gens et mettent tout sur le même pied d’égalité alors que justement c’est là qu’il faut être attentif.

SI LE CLIMAT SE DÉRÈGLE, ON VA AVOIR DES CHANGEMENTS DE SOCIÉTÉ BIEN PLUS IMPORTANTS AVEC DES SOUCIS AUTREMENT PLUS GRAVES QUE LE COÛT DE LA VIE OU LA PÉNURIE DE LOGEMENT.

Faut-il renforcer l’action pour atténuer le changement climatique ?

– Oui, puisque les trajectoires d’émissions basées sur le politiques menées actuellement conduisent à dépasser l’objectif des 2°C de réchauffement

Peut-on renforcer l’action pour atténuer le changement climatique ?

– Oui. Il existe des options d’atténuation qu’il est possible de déployer à grande échelle et à court terme.

Quels instruments économiques ou de régulation peut-on utiliser ?

Instruments et réglementations

– La tarification carbone

– les échanges des droits d’émissions pour les bas revenus

– la suppressions des subventions aux combustibles fossiles

– redistribution des revenus de cette taxe aux plus vulnérables

Ces actions sont-elles suffisamment financées ?

– Non. Les flux financiers observés sont inférieurs aux niveaux nécessaire pour atteindre l’objectif d’atténuation. Il faut soutenir les investissements dans les pays les plus faibles et diminuer ceux-ci dans les pays les plus riches. Décroître pour permettre à d’autres de grandir afin de trouver un équilibre entre les nations et la planète.

L’argent nécessaire existe-t-il ?

– Oui. En Suisse et dans les pays industrialisés. La taille du système financier mondial est suffisant, capitaux et liquidités, pour combler les déficits d’investissements. Il faut réorienter les capitaux.

Les obstacles sont :

  • une évaluation inadéquate des risques liés au climat

  • une évaluation inadéquate des opportunités d’investissements

  • une inadéquation régionale entre les capitaux disponibles et les besoins d’investissements

  • les préjugés nationaux

  • les niveaux d’endettement des pays

  • la vulnérabilité économique

  • des capacités institutionnelles limitées

Le transfert financier riches/pauvres actuel est-il suffisant ?

– Non. Un soutien financier accéléré aux pays en développement par les pays développés est un catalyseur essentiel. Et cela serait rentable. L’objectif de la COP de Paris (2015) était de 100 MIA de dollars par an.

Quel rôle pour la coopération internationale ?

– Elle est un catalyseur essentiel à la lutte contre le réchauffement climatique

mai 2023